Que faire en cas d’accidents de la vie courante ?

Françoise, 65 ans, chute lourdement en glissant sur la marche du balcon de son domicile à cause d’une plaque de verglas. Elle se blesse à l’épaule et au genou. Elle est opérée et hospitalisée 10 jours en chambre particulière. Après plusieurs mois de rééducation, son état est stabilisé et son déficit fonctionnel permanent est évaluée à 25 %.

Grâce à son contrat Abeille Protection Accident de « Niveau B »,  Françoise bénéficie d’une assistance pour la garde de son animal domestique et, à son retour, d’une aide à domicile. Au titre du déficit fonctionnel permanent et des souffrances endurées, elle reçoit une indemnisation de 45 000 €⁽¹⁾ déterminée à partir de sa situation personnelle.

Jacques, 64 ans, est victime d’un accident médical non fautif (aléa thérapeutique) à la suite d’une intervention chirurgicale pour colectomie. À la suite de cette opération, il souffre d’une atteinte cognitive et de lésions cérébrales diffuses. Son déficit fonctionnel permanent est évalué par expertise à 45 % à la consolidation.

Grâce à son contrat Abeille Protection Accident de « Niveau B », Jacques reçoit une indemnisation de 307 360 €⁽¹⁾ au titre de son préjudice en complément de l’indemnisation de l’ONIAM (postes non indemnisés par l’Office National d’Indemnisation des Accident Médicaux).

Pierre, 43 ans, marié, 3 enfants, tombe de son échelle chez lui, en ajustant les tuiles de son toit. Il perd l’usage de ses jambes et doit arrêter son activité professionnelle. Les conclusions des expertises indiquent un déficit fonctionnel permanent de 45 %, des souffrances endurées, un préjudice d’agrément, un manque à gagner professionnel et les frais d’aménagement nécessaires de son véhicule et de son domicile.

Grâce à son contrat Abeille Protection Accident de « Niveau B »,  Pierre reçoit une indemnité sous forme d’un capital de 1 041 800 €⁽¹⁾, déterminée à partir de sa situation personnelle de victime. Au titre de la perte de l’usage de ses jambes, une prestation complémentaire pour l’assistance d’une tierce personne est prise en charge.

Alexandre, 8 ans, joue avec son grand frère alors qu’ils sont en vacances chez leurs grands-parents. Brusquement, il déboule jusqu’en bas de l’escalier et se blesse grièvement à l’œil et subit des lésions au visage. Il est immobilisé plusieurs semaines et doit s’absenter de l’école. Les conclusions de l’expertise indiquent un déficit fonctionnel permanent de 35 %, des souffrances endurées et un préjudice esthétique.

Grâce à son contrat Abeille Protection Accident de « Niveau B »,  Alexandre bénéficie de l’assistance et une aide pédagogique vient à domicile pour éviter qu’il ne prenne trop de retard dans sa scolarité. Il reçoit également une indemnité de 195 925 €⁽¹⁾, déterminée en fonction de sa situation personnelle.

Sylvie, infirmière libérale, âgée de 63 ans, achète sur le marché de son village des cèpes et autres champignons, cueillis le matin même par le marchand. Pour le dîner, elle cuisine et déguste sa poêlée de champignons. Le surlendemain, Sylvie est prise de violents vomissements. Elle se rend aux urgences et est immédiatement hospitalisée. Après analyse toxicologique, il s'avère qu'elle a ingéré des amanites phalloïdes, communément appelés "calices de la mort", champignons hautement toxiques ! Suite à cette grave intoxication, Sylvie souffre d'une insuffisance rénale et certaines de ses pathologies déjà connues avant l'accident sont aggravées. D'une part, elle ne peut plus suivre ses traitements médicamenteux habituels. D'autre part, elle n'est plus capable d'exercer son métier et doit prendre une retraite anticipée.

Grâce à son contrat Abeille Protection Accident de « Niveau B »,  Sylvie bénéficie d'une indemnité de 75 680 €⁽¹⁾ au titre de son déficit fonctionnel permanent évalué à 15 % et aussi, au titre de ses souffrances endurées et pour sa perte de gains professionnels, liée à son départ anticipé en retraite.